Posséder un vélo, un scooter ou un moyen de transport peut dès à présent être rentabilisé par un auto-entrepreneur en devenant coursier. Avec un marché en plein essor au niveau des nombreuses petites sociétés qui font de plus en plus appel à ce genre de prestataire, c’est un métier en vogue qui encourage de plus en plus de personnes à se lancer dans cette entreprise à l’allure de petits boulots. En apparence, cela paraît simple, mais c’est bien plus compliqué que cela en à l’air.
Quelques réglementations
Qu’il s’agisse de posséder un vélo, un scooter ou une voiture, il faut être déclaré en tant que coursier auto-entrepreneur pratiquant une activité commerciale pour pouvoir bénéficier d’une accréditation. Au niveau de l’URSSAF, cela porte l’intitulé de « service des coursiers urbains indépendants ».
À vélo, être coursier auto-entrepreneur peut sembler être simple comparé au fait de devoir fournir des documents supplémentaires auprès des autorités compétentes comme des licences ou autres accréditations, mais il faut prendre garde à la sécurité.
Comment un coursier auto-entrepreneur indépendant est-il engagé ?
Il faut d’abord que le coursier auto-entrepreneur soit souscrit à une (RC Pro) ou assurance professionnelle afin de disposer d’une marge en cas de dommages causés à autrui ou en cas d’accident au niveau de la marchandise. Le Régime social des indépendants prend aussi en compte le travail de coursier auto-entrepreneur au sérieux et leur santé à cœur.
Pour faire de cette profession une parfaite réussite, de nombreuses entreprises font de plus en plus appel à des coursiers auto-entrepreneurs indépendants dans le cadre de mobilisation écolo. En fonction de la demande, il est désormais possible de se faire livrer chaque petite chose par l’intermédiaire de différents coursiers et la technologie est de nos jours mise à profit dans ce domaine.