L’année 2018 marque le début du changement en France, notamment au niveau de l’appréciation de la montée du nombre d’auto-entrepreneurs qui augmente. L’auto-entreprise évolue au fil du temps, c’est pourquoi il est intéressant de voir les bases ou les trois mesures majeures qui ont été à l’origine de cela. Découlant du projet de loi de finances pour l’année 2018, voici ce qu’il en est de tout cela.
Tout est une histoire de chiffre d’affaires
La première mesure prise par le gouvernement consiste à bénéficier de plus d’avantages sociaux pour les auto-entrepreneurs sur une période prolongée en comptant bien que leur chiffre d’affaires ne dépasse pas un certain seuil. En effet, en rehaussant le chiffre d’affaires d’un auto-entrepreneur peut atteindre au lieu de laisser le seuil tel quelle, le projet de loi de finances vise à pérenniser le développement des micros entreprises.
La seconde mesure du projet de loi de finances visant une exonération d’impôts sur « la Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) » est aussi une bonne mesure qui atténue les dépenses des micros entreprises dont le chiffre d’affaires est en dessous de 5 000 € et leur fait faire des économies.
Même les demandeurs d’emploi pourront désormais devenir auto-entrepreneurs
La troisième mesure du projet de loi de finances concernant le dispositif d’aide au chômeur créant ou reprenant une entreprise (ACCRE) arrivera également à point nommé, en 2019, pour venir en aide aux auto-entrepreneurs qui ne connaissent pas encore de grands marchés et dont les revenus et chiffres d’affaires sont encore à acquérir. En effet, cette mesure est avantageuse dans le sens que lorsque l’ensemble des cotisations de sécurité sociale seront exonérées cela pourra booster l’économie et surtout l’entrepreneuriat indépendant. De ce fait, l’évolution de la France concernera une grande partie de sa population dans le domaine de l’auto-entreprise.